ARTHUR
« En pensant à long terme et non plus à court terme comme on nous le propose partout et tout le temps. En gardant à l’esprit que le changement ne se trouve pas sur les rails qui se trouvent devant nous. »
DOUNIA
« Nous ne pourrons pas évoluer sans investissement en recherche et développement, pour sortir des sentiers battus en requestionnant le problème initial et sortir de l’incrémental pour envisager des innovations de rupture. »
SIMON
« Cela passe par des contraintes et des envies. Il faut se donner des contraintes, des limites et des normes pour permettre que ces techniques ne soient plus anecdotiques mais deviennent la norme.
En revanche, il est également important que chacun ait l’envie de se projeter dans un monde plus respectueux de l’environnement, en inventant de nouveaux récits écologiques motivants. »
LESLIE
« Expérimenter soi-même des solutions respectueuses du vivant est l’étape qui précède le partage d’expériences. Démontrer que c’est possible, vivre ces expériences avec enthousiasme me semble la voie la plus rapide pour inspirer le changement. »
CHRISTOPHER
« D’une part en cessant ou en évitant au maximum d’utiliser et de contribuer à la création de produits ou services d’entreprises dont les activités utilisent des techniques fortement consommatrices de ressources. D’autre part en contribuant à la promotion de techniques plus sobres en les privilégiant dans ses choix de consommation et en prenant part à leur développement par son activité professionnelle ou associative. »
GAÉTAN
« Il faut créer des techniques qui vont nous faire repenser notre rapport aux choses, en privilégiant la frugalité à tous niveaux (ressources, énergies, finances, maintenance, etc.). Par exemple ne pas se demander comment faire une voiture " qui pollue moins ", mais plutôt comment donner envie de moins se déplacer, ou de mutualiser les moyens de transport. »